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Le monde d’ISKRA
 
 

un continent imaginaire pour JdR ou jeu de guerre.

Faites d’ Iskra ce que vous voulez ! Quelle que soit l’utilisation qui est faite d’ Iskra et de Refuge, le meneur de jeu doit faire preuve d’imagination et de souplesse.

Iskra peut être utilisé comem base pour du jeu de rôle ou du wargame. Les indications données constituent des pistes de réflexion, non des règles. Le but est de fournir un cadre pas un carcan.

Ainsi, si l’utilisation prévue est pour un jeu de rôle, plusieurs modifications sont faciles à opérer :

Où mettre elfes, orcs et autres monstres si ceux ci sont souhaités ?

Les elfes peuvent être casés dans les forêts occidentales, les nains dans les montagnes de feu, les orcs et autres horreurs dans les plaines et forêts du nord avec les géants dans les montagnes. Dans les plaines, il peut y avoir des tribus humaines assujetties ou résistant vaillamment aux forces du mal et/ou du chaos.

Les humains de la partie ouest des plaines centrales peuvent être neutres ou du côté du bien, ou partagées, et celles de la partie ouest du côté du mal, ou partagées. Peut être Bjornwerk vit il encore ? Sera il le super vilain tissant sa toile ou le protecteur secret de l’humanité que d’ autres veulent réduire en esclavage ?

Ainsi, si vous êtes plus intéressés par l’ aspect jeu de stratégie, la Blandemarque au lieu d’ être une région d’ anarchie, peut disposer d’ un pouvoir central stable et respecté et être confié à un joueur. Sauf si vous voulez jouer à une toute petite échelle et si vous décidez que le thème de la campagne est de déterminer qui deviendra roi de Blandemarque.

A l’inverse, si vous êtes plus intéressés par le jeu de rôle, une légende dit qu’ Alexius XIV, dernier empereur du second empire et responsable de la chute de celui-ci survivrait dans les ruines de Nova Roma dans la forêt de Derna.

Upsal peut devenir une région frontière, avec des villes sur les côtes, des communautés de mineurs et de paysans à l’intérieur, des meneurs d’hommes qui entendent se tailler des fiefs, des nomades des steppes pas contents du tout de voir des cultivateurs empiéter sur leurs espaces de pâturage et de culture s’ils sont plus ou moins sédentarisés, sans oublier des petites villes agitées et des héros solitaires.

Enfin, alternativement, la face d’ Haidaine non connue des humains de Refuge contiendrait dans sa partie nord un continent gigantesque, réparti en deux masses, habité par des humains, des elfes et autres demis humains ou non humains. A vous de jouer.

Simplement, les humains indépendants devraient occuper à peu près 1/12 de la surface globale, les humains alliés aux forces du bien, à peu près 1/12 et ceux alliés aux forces du mal à peu près autant. Les forces du bien disposeraient de 1/ 4 du territoire et celles du mal, d’autant. Le reste, soit 1/4 resterait à peu près vide, sauf des communautés isolées les unes des autres.

La distance entre Refuge et ce continent serait comprise entre 8 000 et 10 000 kilomètres. Des îles ou archipels pourraient exister et servir d’étapes. Des projets d’exploration seraient en cours.

Un autre continent, encore plus mythique, existerait dans la partie sud. Son peuplement ressemblerait à celui d’une gigantesque île du docteur Moreau, comprenant non seulement des humains mais aussi plusieurs races d’hommes oiseaux, des hommes lions, des hommes tigres, des hommes lézards, etc.

Enfin, rien n’interdit d’inventer des races nouvelles, totalement différentes des races habituelles, quitte à s’inspirer de certains auteurs.

 
 

Préliminaires légendaires :

 

En ce temps là, les hommes vivaient sur Terre. Au lieu de respecter la déesse et les esprits, ils adoraient de faux dieux et se prenaient pour les maîtres de la planète, des créatures et des plantes. Ils portèrent une telle atteinte à la planète que la déesse décida de les exiler. Elle appela à son aide le dieu Soleil et il y eu de grands tremblements de terre, des inondations et la surface de la planète fut dévastée.

Des hommes entreprenants décidèrent de partir. Sur la méthode exacte, les idées divergent. Pour les uns, ils construisirent d’immenses vaisseaux dans lesquels ils s’entassèrent avec leurs biens pour errer longtemps. Pour d’autres, la colère des divinités fut telle que le temps et l’espace furent tordus et que des corridors s’ouvrirent que les hommes purent emprunter pour fuir.

Dans les deux cas, la fin est la même : Les déesses Iskra et Haidaine eurent pitié des fuyards et les accueillirent après conclusion d’un pacte qui est à peu près respecté.

Il est à noter que le calendrier est établi à compter de l’exode.

 
 
Publié le lundi 2 juin 2008
Mis à jour le dimanche 22 juin 2008

 
 
 
 
Publié le dimanche 6 juillet 2008 par Morgan Kane
 
Publié le samedi 28 juin 2008 par Morgan Kane
Mis à jour le dimanche 22 juin 2008
 
Publié le samedi 28 juin 2008 par Morgan Kane
Mis à jour le dimanche 22 juin 2008
 
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  Mis à jour le lundi 22 décembre 2008